Une commission parlementaire, chargée d’examiner un scandale touchant le président sud-africain Cyril Ramaphosa, a jugé dans son rapport remis mercredi qu’il y avait suffisamment de matière pour débattre au Parlement de son éventuelle destitution.
«À la lumière de toutes les informations soumises à la commission, nous concluons que ces informations révèlent, prima facie, que le président a pu commettre» des violations et des fautes, affirme le rapport.