Ce Chef – là, celui qui s’est adressé à nous hier, on l’aime et on aimerait qu’il demeure ainsi.
Apparemment, quand il ne fait pas dans des calculs politiciens ou ne prépare pas des coups tordus ou fourrés à ses adversaires, quand donc c’est pour des actions autres que la politique politicienne, le Chef peut paraitre bon.
Et on l’aime ainsi plutôt que lorsqu’il essaie de nous enfariner avec des discours creux et fumants. Hier, il a été bon. Et c’est tant mieux pour le peuple qu’il est censé défendre et protéger quand l’envahisseur est sur le point de nous exterminer comme avec ce Covid- 19 qui nous a déjà encerclés.
A l’instar de Macron, il a annoncé la guerre à l’ennemi. Mais également, le Chef a mis les moyens et pris les mesures fortes qu’il faut pour ne pas laisser son peuple à terre face en ces périodes d’incertitudes.
Il a su nous parler, nous convaincre, nous faire entrevoir la difficulté du chemin. Bref, il a été un vrai Chef, le père de famille protecteur et sensible à l’avenir de sa progéniture.
L’idée de soutenir les entreprises, dont la presse qui est déjà à terre, est à saluer. Celle-ci ne peut porter le combat de la sensibilisation dans l’état de dénuement où elle se trouve.
Il faut beaucoup de ressources pour ces entreprises, surtout celles qui en sont dépourvues pour des raisons politiciennes. Bien cibler les ayants-droit pour ne pas nourrir ces snipers qui ne peuvent prouver un seul professionnel à leur charge, faisant du job un juteux business.
Les ménages qui sont déjà exténués peuvent voir l’avenir sous de meilleurs auspices. Tout aussi salutaire, l’enveloppe de 50 milliards qui sera consacrée à l’achat de vivres pour l’aide alimentaire d’urgence.
Entre autres mesures fortes à un moment où le peuple était dans la tourmente avant que ce salopard de Covid 19 ne vienne aggraver la situation.
Tous derrière le Chef, pour une fois qu’il n’est pas dans des calculs politiciens !
