DiasporaEconomieInternationalVedette - La UNE

Dakar 13e ville africaine la plus chère pour les immigrés

La capitale sénégalaise est la 13e ville africaine la plus chère pour les immigrés, 72e rang mondial dans le classement 2019 de la 25ème enquête de l’entreprise américaine Mercer sur le coût de la vie.

’’N’Djamena (11è mondial) reste la ville d’Afrique la plus haute dans le classement. Elle est suivie de Victoria (14è) qui gagne sept places et de Kinshasa (22è) qui en gagne quinze. Libreville (24è mondial) descend de six places’’, selon le classement consulté par Dakarecho.com

Lunda (6e africaine) arrive à la 26e place mondiale tandis qu’Abidjan occupe la place 7e place africaine ( 30e mondiale).

L’entreprise américaine Mercer a publié cette semaine, un nouveau rapport sur la cherté de la vie dans plusieurs villes du monde.

Le ‘’Mercer’s 2018 cost of living ranking’’ qui prend en compte 209 villes à travers le monde (dont 42 africaines), dresse un classement des villes où ‘’le coût de la vie est le plus élevé pour les expatriés’’. (immigrés)

Huit des dix villes les plus chères au monde pour les immigrés sont des villes asiatiques, note Mercer, soulignant que le résultat est lié au prix élevé des biens de consommation destinés aux expatriés et à un marché de l’immobilier particulièrement dynamique.

Tokyo (2è), Singapour (3è) et Séoul (4è) figurent dans le haut du classement, tandis que la place de ville la plus chère du monde revient à Hong Kong (1è) pour la deuxième année consécutive.

La ville la plus chère du monde pour les expatriés reste comme en 2018 Hong Kong, « à cause du marché immobilier, mais aussi de sa monnaie indexée sur le dollar américain qui augmente inéluctablement le coût de la vie », relève Mercer dans son enquête.

L’enquête sur le coût de la vie de Mercer a pour but d’aider les multinationales et les gouvernements à définir la rémunération de leurs salariés expatriés.

New York est utilisée comme ville de référence, et les fluctuations des devises se mesurent par rapport au dollar américain. Cette 25e édition montre qu’un certain nombre de facteurs, notamment les fluctuations monétaires, l’inflation des biens et des services et la volatilité des prix des logements, contribuent au coût total des rémunérations des salariés en expatriation.

Jean Louis Verdier - Rédacteur en Chef Digital - Paris- Dubaï - Hong Kong dakarecho@gmail.com - Tél (+00) 33 6 17 86 36 34 + 852 6586 2047

Articles Similaires

1 sur 533

Laisser une réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *