‘’Ndiassane n’avait pas l’habitude de communiquer sur ce qu’il faisait, mais à l’ère de la mondialisation, de la digitalisation, pour qu’un message soit répandu à travers le monde, il faut communiquer avec méthode’’, a dit M. Kounta.
Conscient de cette donne, un comité d’organisation a été mis sur pied, dès le début sur instruction du khalife, avec des commissions, a t-il expliqué.
Un comité scientifique a réfléchi à la thématique du Gamou et une cellule de communication est à pied d’œuvre, ‘’pour essayer de rendre beaucoup plus visibles les activités du Gamou’’, a dit son responsable.
Cette année, sur instruction du septième khalife, Cheikh Bécaye Kounta, qui prône une ‘’ouverture’’ de la cité fondée en 1883, pour une plus grande visibilité du Gamou, ‘’beaucoup de sites d’informations au niveau national mais aussi sous-régional’’ ont été invités à ‘’diffuser le plus largement possible les activités’’ de l’évènement.
La cité de Ndiassane est le point de convergence de disciples khadres, en provenance de la sous-région, notamment du Mali. Des citoyens Mauritaniens et Gambiens viennent aussi prendre part à la manifestation. A ce jour la cellule n’a pas encore fini de lister les organes qui ont répondu à l’appel, mais ils approchent la centaine.
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