Le prix Goncourt a été attribué lundi au romancier franco-algérien Kamel Daoud pour son roman « Houris » (éd. Gallimard), sur « la décennie noire » en Algérie.
Kamel Daoud, franco-algérien de 54 ans, signe avec « Houris » (éd. Gallimard) une fiction sur les massacres de la « décennie noire » algérienne (1992-2002).
Il a été choisi par le jury au premier tour, récoltant six voix, contre deux pour Hélène Gaudy, une pour Gaël Faye, lauréat du Renaudot, et une pour Sandrine Collette, a annoncé le président de l’Académie Goncourt, l’écrivain Philippe Claudel.
Lauréat du Renaudot, Gaël Faye, 42 ans, est avec « Jacaranda » (éd. Grasset) l’auteur d’une autre fiction, celle-là sur la reconstruction du Rwanda après le génocide de 1994.
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