Presse en ruine comme le Sénégal mis en ruine par la classe politique, une telle presse en état paralysé s’est rendue indigeste.
SITUATION ACTUELLE DES ENTREPRISES DE PRESSE
C’est le rappel à Dieu du quatrième pouvoir dans un régime où cette dernière s’est mise en état d’éclipse. Aucun rayon n’est visible à l’heure actuelle.
De prime abord, des entreprises de presse, des organes de diffusion et médias privés dits » non reconnus » , dans une dynamique de réforme, haussent impérativement le niveau de chômage.
Des entreprises de presse privée en conformité au présent code, surchargées de dettes fiscales, sont devenues cibles potentielles des » régulateurs fiscaux ».
Des médias partiaux, non conformes, administrés par des pourvoyeurs usurpateurs et chômeurs heureux, dénaturent les valeurs d’éthique, en propageant des fausses nouvelles.
Des entreprises de presse publique crient de joie, de bonheur et de bonté ; pendant ce temps, les privées crient de détresse, de stress et de malheur extrême.
La situation de la presse actuelle semble être ensoleillée de malheur, de mal à l’heure et de maux de l’heure.
LA SITUATION RÉELLE DES JEUNES REPORTERS
Des jeunes reporters dépourvus de contrat de travail, entreprennent avec leurs petites ou moyennes entreprises, espérant un profit dans un court parcours avec petit pied.
Des jeunes diplômés s’engagent dans le professionnalisme, optant pour le secteur privé comme typologie, dans des états précaires.
Des jeunes reporters non diplômés, mais passionnés du secteur et qui devaient être formés, encadrés et sponsorisés par les facilitateurs légitimes, deviennent cibles potentielles des régulateurs.
Des journalistes chevronnés, dépositaires d’éthique et de la déontologie, souffrant de manque de capitaux financiers, bénéficient indépendamment d’une perfusion de nature corruptogène.
QUI DOIT RÉGULER LE SECTEUR ?
Des maisons de presse en extrême précarité vomissent des contraintes irrésistibles sans aucune solution mesurable au préalable.
La presse est un secteur majeur, incluant divers secteurs d’activité génératrice de revenus (AGR), vecteur d’émergence économique et poumon d’une belle démocratie.
C’est un globe multifonctionnel, impliquant plusieurs acteurs de développement industriel et créateurs spontanés de richesses.
L’autorité régulatrice de la presse, c’est elle-même. Seule cette dernière peut assainir la presse avec ou sans acteurs d’initiative.
Réformer n’est pas violer le code, de surcroît la constitution qui applaudit toute liberté d’expression encadrée.
Restructurer la dynamique du quatrième pouvoir reste et demeure notre crédo inestimable.
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