Billet

Prix

Le prix le plus prestigieux de la littérature en France pour cette année a donc été décerné à un jeune Sénégalais. Ce sacre inédit a vraiment réjoui tous les amateurs de belles lettres. Qui s’accordent à dire que Mbougar est assurément une belle plume.

Au Sénégal, les grosses têtes soulèvent toujours la polémique. Mbougar, pour avoir déjà abordé le problème de l’homosexualité dans son pays d’origine, a récolté une pluie de cailloux surtout dans le Net. Il a eu de belles plumes pour le défendre.

A la gent féminine et masculine qui s’est distinguée dans cette défense de Mbougar Sarr, ces dames d’une certaine culture et ces hommes de culture certaine, qui n’ont souvent appris le Coran qu’en français si tant est qu’ils l’aient appris, cette gent donc adore forcément les auteurs qui traduisent avec succulence ses fantasmes.

Quel que soit le niveau de maitrise des lettres, il faut d’emblée savoir que le sujet n’est point tabou et qu’il a été abordé dans le Livre et condamné définitivement par l’Islam.

Le bon musulman ne doit pas vouloir revenir sur ce qui a été jugé et bien jugé par le Coran. Le musulman accepte ou rejette.

Ceux qui boivent, forniquent et empiètent quotidiennement les règles de l’Islam savent trop bien les punitions qu’ils encourent.

S’il existe dans toutes les sociétés humaines des hommes qui préfèrent leurs pareils et des femmes lesbiennes, c’est leur problème.

Mais que des mécréants veulent bouleverser toutes les règles pour nous imposer les leurs, c’est inadmissible.

Les règles de l’Islam sont immuables. Elles nous régissent depuis Mathusalem et nous nous en portons toujours mieux. Nous avons à faire avec des gens d’une intelligence pointue.

Ils choisissent des sujets brillants de nos Ecoles, des personnes qui ont un avenir tout tracé pour en faire des porte-paroles de leur cause. Mbougar tout comme Diary Sow ont été happés par l’Occident.

Diary la cadette qui insulte ceux qui l’ont critiquée va vite apprendre de ses erreurs. Son impertinence que salue un ami qui la compare à de l’audace littéraire me semble plus une insuffisance ou une carence de l’âge.

Deux jeunes brillants sujets qui ne semblent guère près de revenir vivre parmi nous. Surtout la Diary qui porte comme un fardeau sa virginité et que j’emmerde goulument. Point barre.

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