A peine pubères, vous les verrez trainer avec des fortunes incroyables. De quoi faire le bonheur des agresseurs. Elles trimballent de coûteux accessoires.
IPhone dernier cri, de belles robes, des chaussures à 100 mille balles, des cheveux dits naturels mais qui sont des tifs provenant de vieilles blanches et qui donnent à nos femmes des allures de guenons.
De petits riens. Les délurées ne font leurs courses qu’en taxi, si elle ne roulent pas dans de belles bagnoles offertes par de gentils mecs aux fortunes de provenances douteuses.
Mais puisque l’argent n’a pas d’odeur… Aux heures de crime, pendant que les jeunes de leur âge sont au lit, ces adolescentes se préparent à aller affronter les nuits chaudes de la capitale avec la complicité de leurs mamans ou de leurs pères qui trouveront à leurs gentilles filles des soutiens.
D’ailleurs, elles ne s’intéressent guère aux garçons de leur âge, pas même aux mecs du coin même s’ils ne sont pas pauvres.
Leurs cibles, c’est pour la plupart de vieux hommes inoffensifs en apparence mais qui ont besoin de sensations fortes. Ces petits plaisirs dont leurs bourgeoises d’épouses ne peuvent plus les combler.
Vous voulez un dessin ? Bien entendu, ces plaisirs s’offrent au prix fort. Et ils casquent fort. Et quand ça tourne mal, bonjour les dégâts!
Elles vous colleront au p…. une histoire de viol que nos magistrats goberont facilement avant d’envoyer les malheureux au purgatoire pour dix ans, oubliant que les plaignantes, aux allures de gamines, sont déjà bien rodées et se font sauter depuis leurs 15 ans. Voire avant.
Les plus téméraires parmi ces donzelles vivent en concubinage dans une des cités qui pullulent en ville et souvent en compagnie d’autres ados.
Ces garçons étant eux – mêmes dans des deals et d’autres coups fumants. Ils volent et agressent. Se font entretenir par de vieilles et riches rombières qui veulent retrouver une seconde jeunesse ou se rappeler certains plaisirs. Prendre leur pied quoi !
D’autres tombent facilement dans le piège « LGBT » qui rapporte gros. Ainsi est notre époque avec des ados qui tirent les ficelles. Il nous faut donc faire avec et cesser de jouer les hypocrites.
Justement, la « petite » Dieynaba est victime de ce système.
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