Le président du Ghana Nana Akufo-Addo s’est réjoui mardi des acquis de la sortie de son pays du Fonds monétaire international (FMI)
Le président ghanéen prononçait un discours sur l’état de la nation devant le parlement
La sortie du Ghana du Fond monétaire International, est l’une des grandes décisions qu’il a prise en 2018, un peu moins de deux ans après son arrivée au pouvoir en 2016, soutenant que son pays n’avait plus besoin des crédits du FMI et que la reprise économique engagée sous son autorité, suffirait pour financer le budget national.
Deux ans après cette décision, le président qui vient d’être réélu pour un deuxième mandat à la tête du pays, se réjouit de cette décision, même s’il reconnait que les évolutions constatées en 2019, ont été sapées par la pandémie de Covid-19.
À la fin de l’année 2019, «l’économie était caractérisée par une forte croissance réalisée grâce à la mise en œuvre des programmes phares du gouvernement», a souligné Akufo-Addo.
«Le gouvernement continuera à mettre en œuvre des mesures budgétaires prudentes pour accélérer le de l’assainissement budgétaire, et, en mars de cette année 2021», a-t-il affirmé
