Une étude de l’African Digital Rights Network cite le Sénégal parmi six pays africains où la surveillance de masse est pratiquée par l’Etat.
Les autres pays concernés sont l’Egypte, le Kenya, le Nigeria, l’Afrique du Sud et le Soudan. « Les préoccupations en matière de sécurité nationale ont été utilisées pour justifier des pouvoirs de surveillance accrus », indique le rapport.
« L’Etat a rendu obligatoire l’enregistrement des téléphones portables et a acheté la technologie de surveillance des téléphones portables Fin Spy et a fait les deuxièmes demandes de données de surveillance de tous les pays ».
African Digital Rights Network in collaboration with @IDS_UK has produced a comparative analysis of how privacy rights are protected in #surveillance law across 6 African countries: Egypt, Kenya, Nigeria, Senegal, South #Africa & Sudan.
Download👉🏿 https://t.co/1jcaJ3H5Xj #ICT4D pic.twitter.com/GI2OFH3bie— African Digital Rights Network (@ADRNorg) October 21, 2021
L’étude signale par ailleurs qu’il n’y a « pas de droit de soumettre une notification dans la loi de surveillance sénégalaise ».
Et « il n’ y a aucune obligation légale de rendre compte au public du nombre et du type de demandes et d’autorisation de surveillance « .
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