Le projet de téléphonie de l’administration lancé en 2013 avec un investissement de 60 milliards de FCFA, visant à introduire la technologie cryptée CDMA pour réduire les coûts de téléphonie de l’État. Ce projet n’a pas atteint ses objectifs et a été abandonné, obligeant l’administration à continuer à souscrire aux services des opérateurs commerciaux pour la connectivité.
Le projet d’extension de l’intranet gouvernemental et d’interconnexion à large bande par fibre optique, financé par des prêts de plus de 120 milliards de FCFA de la part de partenaires coréens et chinois. Malgré ces investissements importants, ces initiatives n’ont pas amélioré la productivité de l’administration comme prévu.
Le RESTIC souligne l’absence d’évaluations officielles de l’impact et des résultats de ces projets, malgré leur coût significatif pour le pays. Ils appellent donc les autorités, y compris le Président de la République et le Premier Ministre, à procéder à un audit urgent de ces initiatives.
De plus, le RESTIC recommande la restructuration immédiate du Collège de Régulation de l’ARTP, notamment le remplacement des mandats expirés, pour assurer une supervision adéquate dans ce secteur crucial.
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