Le groupe Avenir Communication, sous la direction du journaliste Madiambal Diagne, traverse une période financière particulièrement difficile en raison de redressements fiscaux imposés par l’administration des Impôts et Domaines du Sénégal.

Cette situation a conduit au blocage des comptes du groupe, engendrant de sérieuses perturbations dans ses opérations courantes.

Le groupe a été informé d’une saisie de ses comptes pour un montant de 91 millions de francs CFA, résultant de redressements fiscaux pour les années 2020 et 2021.

La mesure concerne une taxation d’office pour les impôts non acquittés durant ces deux années, ce qui a conduit à cette action de la part des autorités fiscales.

Le blocage des comptes complique sérieusement la gestion quotidienne du groupe, perturbant le paiement des salaires, les frais de fonctionnement, et les obligations contractuelles.

Les employés risquent de subir les conséquences directes de cette mesure, avec des retards ou des non-paiements des salaires, mettant en péril leur stabilité financière.

Le groupe a publié une déclaration soulignant les conséquences néfastes de cette mesure sur son fonctionnement et son personnel.

Jusqu’à présent, les responsables de l’entreprise n’ont pas encore précisé les stratégies ou les mesures envisagées pour faire face à cette crise financière.

Le groupe Avenir Communication joue un rôle significatif dans le paysage médiatique du Sénégal, la crise actuelle pourrait affaiblir une voix médiatique ainsi qu’une perturbation des activités du groupe 

Cette situation pourrait également servir de cas de référence pour d’autres entreprises médiatiques concernant les conséquences des redressements fiscaux stricts.

Pour surmonter cette épreuve, le groupe envisage plusieurs actions: des négociations avec les autorités fiscales, tenter de trouver un arrangement ou un étalement du paiement des sommes dues, rechercher des solutions de financement temporaire pour pallier le blocage des comptes, mettre en place des mesures d’austérité pour réduire les dépenses non essentielles et préserver les ressources disponibles.