La candidature à l’élection présidentielle en Centrafrique de l’ancien chef de l’État, François Bozizé, a été invalidée jeudi 3 décembre par la Cour constitutionnelle au motif qu’il faisait l’objet de poursuites notamment pour «assassinats», «tortures» et de sanctions de l’ONU.
En audience publique, la Cour a invalidé la candidature à l’élection du 27 décembre de Bozizé, évincé du pouvoir par un putsch en 2013, «considérant que le candidat fait l’objet d’un mandat d’arrêt international lancé contre lui le 31 mars 2014» notamment «pour assassinats, arrestations, séquestrations, détentions arbitraires et tortures».
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