Donald Trump a annoncé jeudi qu’il comptait charger le milliardaire Elon Musk, dont il est proche, de piloter une réforme de l’administration américaine s’il était élu à la Maison Blanche.
Lors d’un discours sur son programme économique à New York, le candidat républicain à la présidentielle a assuré qu’Elon Musk avait « accepté » la mission de « conduire cet audit complet ».
A deux mois jour pour jour de l’élection américaine du 5 novembre, le septuagénaire s’est aussi engagé à faire des Etats-Unis « la capitale mondiale du bitcoin et des cryptomonnaies ».
« Au lieu de s’en prendre aux industries du futur, nous les soutiendrons », a-t-il lancé.
A quelques centaines de kilomètres de là, sa rivale démocrate Kamala Harris est elle arrivée en Pennyslvanie, peut-être l’Etat le plus crucial de l’élection présidentielle.
L’ancien président républicain s’était lui rendu mercredi dans cet Etat du nord-est frappé par la désindustrialisation, qu’il avait remporté d’un cheveu en 2016, puis perdu avec une marge infime en 2020.
Le scrutin présidentiel s’annonce à nouveau très serré, et les Etats-Unis s’inquiètent de tentatives d’ingérence russe contre lesquelles ils ont annoncé mercredi une batterie de mesures.
Laisser un commentaire