Ces violences ont été consécutives à la mort de Hachalu Hundessa, un chanteur populaire issu de l’ethnie oromo.
Au moins 239 personnes ont été tuées dans les manifestations et heurts communautaires qui ont secoué la semaine dernière l’Éthiopie, après le meurtre de Hachalu Hundessa, un populaire chanteur appartenant à l’ethnie majoritaire oromo, selon un décompte basé sur des chiffres fournis par la police.
At least 166 people died in Ethiopia during protests over the killing of Oromo protest singer Hachalu Hundessa, double the number initially reported.
The government has been blocking internet for 6 days, and 2,000+ people were reportedly arrested, including prominent activists. pic.twitter.com/60oMgRzYet
— AJ+ (@ajplus) July 6, 2020
«En raison des troubles qui ont agité la région, neuf policiers, cinq membres de milices et 215 civils ont perdu la vie», a annoncé ce mercredi 8 juillet sur la télévision d’État le chef adjoint de la police de la région Oromia.
What’s behind Ethiopia’s protests triggered by the killing of popular Oromo singer Haacaaluu Hundeessaa?
Al Jazeera’s @hamza_africa explains. pic.twitter.com/pqf67jDA58
— Al Jazeera English (@AJEnglish) July 7, 2020
La police d’Addis Abeba avait auparavant indiqué que 10 personnes avaient trouvé la mort dans la capitale.
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